L’enseignement qualifiant bruxellois était à l’honneur ce samedi à l’occasion des Journées portes ouvertes de l’enseignement qualifiant. A cette occasion de nombreux établissements ont accueillis des parents et des élèves curieux de découvrir leurs offres pédagogiques.
J’ai profité de cette belle journée pour me rendre sur le campus du CERIA où deux établissements organisés par la Cocof (l’Institut Redouté-Peiffer et l’Institut Emile Gryzon) dévoilaient leurs nombreux atouts. Pour la première fois, parents d’élèves, futurs élèves mais aussi simples curieux ont eu la chance de visiter le tout nouveau bâtiment 18 que j’ai eu le plaisir d’inaugurer il y a quelques mois. Sur place, j’ai entendu pas mal de commentaires émerveillés face à la qualité des ateliers et des équipements dont les étudiants de la Cocof disposent désormais. Cela démontre que les objectifs que nous nous sommes fixés en installant ce Centre de technologies avancées (CTA) au cœur du site du CERIA sont justes. En effet, en investissant dans ce CTA et dans ces équipements de pointe, mon intention première était de revaloriser l’enseignement qualifiant. Les jeunes méritent que l’on investisse dans leur avenir. En effet, la création de ce CTA s’inscrit dans la dynamisation de l’enseignement qualifiant. En tant que responsable politique, le redéploiement de cet enseignement s’impose donc comme une priorité.
En déambulant dans les allées du campus, j’ai constaté l’enthousiasme des équipes pédagogiques de nos instituts. J’ai vu la fierté des directions et des enseignants de transmettre un savoir. J’ai également croisé de nombreux anciens étudiants fiers de revenir dans ces locaux, de revoir des enseignants qui leur ont transmis une passion. Certains de ces anciens sont passés dans les ateliers des chefs les plus renommés, d’autres participent avec succès à des grands concours internationaux de cuisine, mais tous ont un point commun : une fierté d’appartenir à l’histoire de ces instituts.